Hymne National de Bolivie (1851)

Bolivianos, el hado propicio - Boliviens, un destin propice
Paroles de José Ignacio de Sanjinés. Musique de Leopoldo Benedetto Vincenti

Bolivianos el hado propicio
corono nuestros votos y anhelo
es ya libre, ya libre este suelo,
ya ceso su servil condición.

Al estruendo marcial que ayer fuera
y al clamor de la guerra horroroso,
siguen hoy en contraste armonioso
dulces himnos de paz y de unión.
Siguen hoy en contraste armonioso
dulces himnos de paz y de unión.

Estribillo*

Loor eterno a los bravos guerreros,
cuyo heroico valor y firmeza,
conquistaron las glorias que empieza
hoy Bolivia feliz a gozar.

Que sus nombres el mármol y el bronce
a remotas edades transmitan
y en sonoros cantares repitan:
Libertad, Libertad, Libertad!
Y en sonoros cantares repitan:
Libertad, Libertad, Libertad!

Estribillo*

Aqui alzo la justicia su trono
que la vil opresión desconoce,
y en su timbre glorioso legose
Libertad, Libertad, Libertad!

Esta tierra inocente y hermosa,
que a debido a Bolivar su nombre,
es la patria feliz donde el hombre
goza el bien de la dicha y la paz.
Es la patria feliz donde el hombre
goza el bien de la dicha y la paz.

Estribillo*

Si extranjero poder algun dia
sojuzgar a Bolivia intentare,
al destino fatal se prepare
que amenaza a soberbio agresor.

Que los hijos del grande Bolívar
han ya mil y mil veces jurado:
morir antes que ver humillado
de la Patria el augusto pendón.
Morir antes que ver humillado
de la Patria el augusto pendón.

* Estribillo

De la Patria, el alto nombre
en glorioso esplendor conservemos
y en sus aras de nuevo juremos
morir antes que esclavos vivir!
Morir antes que esclavos vivir!
Morir antes que esclavos vivir!

Boliviens le destin propice
couronna nos votes et aspirations
il est désormais libre, libre ce sol,
sa condition servile a pris fin.

Au grondement martial qui existait hier
et à la clameur de la guerre épouvantable,
succèdent aujourd'hui, en contraste harmonieux
de doux hymnes de paix et d'union.
Succèdent aujourd'hui, en contraste harmonieux
de doux hymnes de paix et d'union.

Refrain*

Louange éternelle aux braves guerriers,
dont la valeur héroïque et la fermeté,
conquirent les gloires dont
la Bolivie est aujourd'hui heureuse de jouir.

Que le marbre et le bronze
transmettent ses noms à des âges éloignés
et par des cantiques sonores répétez:
Liberté, Liberté, Liberté!
Et par des cantiques sonores répétez:
Liberté, Liberté, Liberté!

Refrain*

Ici la justice érige son trône
qui ne connaît pas la vile oppression,
et dans son timbre glorieux fut légué
Liberté, Liberté, Liberté!

Cette terre innocente et belle,
qui doit son nom à Bolivar,
c'est l'heureuse patrie où l'Homme
jouit de ses biens et de la paix.
C'est l'heureuse patrie où l'Homme
jouit de ses biens et de la paix.

Refrain*

Si un jour une puissance étrangère
venait à essayer de dominer la Bolivie,
que cet arrogant agresseur se prépare
à subir un destin fatal.

Que les enfants du grand Bolivar
ont déjà mille et mille fois juré:
mourir plutôt que de voir humiliée
la vénérable bannière de la Patrie.
Mourir plutôt que de voir humiliée
la vénérable bannière de la Patrie.

* Refrain

De la Patrie, nous conservons le grand nom
dans sa glorieuse splendeur
et dans ses autels nous jurons à nouveau
de mourir plutôt que de vivre esclaves!
de mourir plutôt que de vivre esclaves!
de mourir plutôt que de vivre esclaves!